01-14
Jeu
Marietje Schaake, ex-députée européenne et essayiste, dénonce, dans un entretien au « Monde », le contrôle « d’infrastructures critiques » par les patrons du numérique comme Elon Musk ou Mark Zuckerberg, désormais bienveillants envers Donald Trump.
01-13
L’arrêt des rachats de dettes par la Banque centrale européenne complique le financement des EtatsPour la première fois depuis une décennie, la Banque centrale européenne a cessé d’acheter la dette des pays européens, le 1ᵉʳ janvier 2025. Les investisseurs privés devront en acquérir un montant record pour compenser.
01-12
« Le pou, il faut le regarder dans les yeux » pour mieux lutter contre les infestations à l’écoleEn Vendée, une association antipoux lancée par un couple de retraités fait de la prévention dans les écoles pour limiter la propagation du parasite.
Sous le couvert de réduire le vol dans les magasins, cette technologie qui fiche les individus dits « indésirables » gagne commerces ou boîtes de nuit de la capitale britannique. Une pratique décriée.
A l’heure où le premier ministre a annoncé vouloir reprendre la dernière réforme des retraites, patronat et syndicats, qui viennent d’être reçus à Matignon, ont réaffirmé des positions très éloignées.
Aux Etats-Unis comme en Europe, les rendements des emprunts d’Etat sont fortement remontés. La prise de fonctions de Donald Trump, le 20 janvier prochain, et les doutes sur l’inflation s’ajoutent aux incertitudes politiques et budgétaires en France, en Allemagne et au Royaume-Uni.
Certaines mesures temporaires prises pour sauver l’économie face à la crise du Covid-19 sont toujours en place. Un rapport préconise de mettre de l’ordre dans ces dispositifs. A la clé, des économies de 6 milliards d’euros par an.
Les meilleurs clients peuvent espérer des taux inférieurs à 3 %, quelle que soit la durée de l’emprunt.
Des tensions sur la gouvernance avaient fragilisé le directeur général du groupe de protection sociale en 2023. Benoit Courmont, l’un de ses adjoints, assurera l’intérim pendant la recherche d’un remplaçant.
L’inflation en zone euro, à 2,4 % en 2024, est inférieure à la hausse des salaires, en progression de 5,4 %. Mais les ménages restent appauvris sur trois ans.